dimanche 15 novembre 2020 dimanche,
33ème semaine du Temps Ordinaire
C'est le père Matthieu de Jenlis et le père Engelbert Fotsing qui célèbreront la messe
Le père Francis Symphorien OBAH nous invite à faire de nos maisons une chapelle et accueillir la messe comme un cadeau !
Quelques pistes glanées sur internet :
On incite les fidèles, connaissant l’heure à laquelle leur prêtre célèbre la messe, à s’unir spirituellement à cette célébration depuis chez eux. Nous les encourageons à avoir un temps de prière à la maison, cela peut être par une célébration de la Parole, à avoir une unité de cœur, de désir avec cette célébration avant qu’ils ne se rendent à l’église pour communier. Cette union à la célébration peut également se vivre par le fait de suivre les messes retransmises en direct. D’une manière ou d’une autre, chacun doit garder ce lien entre une célébration par laquelle il s’unit même s’il est physiquement empêché et l’acte de venir communier.
Tant que les messes publiques sont interdites, les célébrations de la Parole, notamment à la maison, sont vivement encouragées par l’Église. Cette célébration requiert néanmoins la présence de deux personnes. Dans l’Évangile selon saint Matthieu, Jésus dit : « Là où deux ou trois font assemblée en mon Nom, je suis là au-milieu d’eux » (Mt 18, 20). « Fais de ta maison une Église », précise le Catéchisme de l’Église Catholique. Bien entendu, ces célébrations domestiques ne sauraient remplacer la participation à la messe les dimanches et fêtes, dès que celle-ci sera de nouveau possible.
En ces temps de coronavirus, il n’est plus possible pour la plupart de communier physiquement. Mais il est tout à fait possible, voire recommandé, de communier spirituellement ! Découvrez une jolie prière à réciter lorsque vous assistez à une messe télévisuelle, afin de vous unir à la communion. Cette prière permet de s'unir à Dieu et à toutes les messes qui sont célébrées dans le monde.
Cette courte prière à réciter exprime le désir d’être en communion avec Dieu, en rappelant que la Messe est toujours célébrée, même si nous n’avons pas l’occasion d’y assister :
Seigneur, en union avec les prêtres de chaque autel de ton Église,
où ton Corps et ton Sang très saint sont offerts au Père,
je veux t’offrir des louanges et des actions de grâces.
Je t’offre mon âme et mon corps,
avec le désir ardent d’être toujours uni à toi;
Comme je ne peux pas te recevoir sacramentellement,
je te demande de venir spirituellement dans mon cœur.
Je me joins à toi, et t’embrasse avec toute l’affection de mon âme.
Que rien ne me sépare de toi, et que je vive et meure dans ton amour.
Amen.
LECTURES DE CE DIMANCHE :
PREMIÈRE LECTURE (Pr 31, 10-13.19-20.30-31)
Une femme parfaite, qui la trouvera ? Elle est précieuse plus que les perles ! Son mari peut lui faire confiance : il ne manquera pas de ressources. Elle fait son bonheur, et non pas sa ruine, tous les jours de sa vie. Elle sait choisir la laine et le lin, et ses mains travaillent volontiers. Elle tend la main vers la quenouille, ses doigts dirigent le fuseau. Ses doigts s’ouvrent en faveur du pauvre, elle tend la main au malheureux. Le charme est trompeur et la beauté s’évanouit; seule, la femme qui craint le Seigneur mérite la louange. Célébrez-la pour les fruits de son travail : et qu’aux portes de la ville, ses œuvres disent sa louange ! – Parole du Seigneur.
PSAUME (Ps 127 (128), 1-2, 3, 4-5)
R/ Heureux qui craint le Seigneur ! (Ps 127, 1a)
Heureux qui craint le Seigneur
et marche selon ses voies !
Tu te nourriras du travail de tes mains :
Heureux es-tu ! À toi, le bonheur !
Ta femme sera dans ta maison
comme une vigne généreuse,
et tes fils, autour de la table,
comme des plants d’olivier.
Voilà comment sera béni
l’homme qui craint le Seigneur.
De Sion, que le Seigneur te bénisse !
Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie.
DEUXIÈME LECTURE (1 Th 5, 1-6)
Pour ce qui est des temps et des moments de la venue du Seigneur, vous n’avez pas besoin, frères, que je vous en parle dans ma lettre. Vous savez très bien que le jour du Seigneur vient comme un voleur dans la nuit. Quand les gens diront : « Quelle paix ! quelle tranquillité ! », c’est alors que, tout à coup, la catastrophe s’abattra sur eux, comme les douleurs sur la femme enceinte : ils ne pourront pas y échapper. Mais vous, frères, comme vous n’êtes pas dans les ténèbres, ce jour ne vous surprendra pas comme un voleur. En effet, vous êtes tous des fils de la lumière, des fils du jour ; nous n’appartenons pas à la nuit et aux ténèbres. Alors, ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres. – Parole du Seigneur.
ÉVANGILE (Mt 25, 14-30)
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : « C’est comme un homme qui partait en voyage : il appela ses serviteurs et leur confia ses biens. À l’un il remit une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul talent, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt, celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres. De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres. Mais celui qui n’en avait reçu qu’un alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître. Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes. Celui qui avait reçu cinq talents s’approcha, présenta cinq autres talents et dit : ‘Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.’ Son maître lui déclara : ‘Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.’ Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi et dit : ‘Seigneur, tu m’as confié deux talents ; voilà, j’en ai gagné deux autres.’ Son maître lui déclara : ‘Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.’ Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi et dit : ‘Seigneur, je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes là où tu n’as pas semé, tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain. J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t’appartient.’ Son maître lui répliqua : ‘Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu. Alors, il fallait placer mon argent à la banque ; et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts. Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix. À celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance ; mais celui qui n’a rien se verra enlever même ce qu’il a. Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !’ » – Acclamons la Parole de Dieu.
Dimanche du secours catholique
pour donner cliquer ici : https://don.secours-catholique.org/don_non_affecte/~mon-don?_cv=1&msclkid=6641de7a54d8145ec7fe81ca41206ac9